Le MoDem de Puteaux réagit aux propos de Christophe Grébert

La section du MoDem de Puteaux réagit aux déclarations écrites de Christophe Grébert publiées sur les sites www.monputeaux.com et www.grebert.net .
Dans un souci de transparence, les putéoliens ont droit à la vérité.

Tout d’abords, nous nous inscrivons en faux à l’annonce d’un score prévu de 10% en début de campagne. Pierre Creuzet n’a jamais caché son ambition d’accéder à la présidence départementale du mouvement, ni Christophe Grébert de le seconder.
Christophe Grébert contredit là les propos qu’il a tenu à Puteaux le 16 septembre 2008 lors de la réunion de section du MoDem, à laquelle étaient invités tous les adhérents, puisqu’il avançait son élection à la vice-présidence du mouvement départemental en charge de la communication comme une certitude.

En second lieu, les résultats des élections départementales ne donnent pas trois, mais deux sièges aux représentants de la liste minoritaire « vraiment orange ».

Il est fait mention d’attaques sur les blogs et les mails inacceptables. Les militants ont abondamment reçu des mails et des SMS, de Pierre Creuzet comme de membres de la commission électorale ou d’un parlementaire, qui les invitaient à se prononcer pour la liste conduite par Pierre Creuzet ou plus subtilement à discréditer les listes conduites par Antoine Dupin et Alexandre Harmand.

Les putéoliens dans leur ensemble ont pu noter à la lecture de la presse écrite que la campagne de Christophe Grébert y était abondamment reliée. Leur réaction sur la toile apparaît donc avec davantage de légitimité.

Enfin, Christophe Grébert annonce qu’il continuera à animer le site /www.92democrate.com/ qui est uniquement dédié à la diffusion des idées de pierre Creuzet. Il s’agit là d’une démarche étrangère au rassemblement.


La section locale du MoDem de Puteaux considère donc que les déclarations de Christophe Grébert n’engagent que lui et se désolidarisent de ses positions. Il n’appartient en aucun cas aux adhérents du MoDem d’assumer la co responsabilité de son échec.

Sylvie Cancelloni siégeait à la Commission électorale. Cette responsabilité lui imposait un devoir de réserve. Nous manifestons notre désapprobation quant à son attitude envers un militant de Courbevoie à qui elle a demandé de retirer un lien qui menait au site officiel du MoDem de Puteaux au bénéfice de celui animé par Christophe Grébert et elle-même. Elle a envoyé avec une partie des membres de la Commission électorale un courriel aux adhérents portant atteinte à la bonne réputation d’Antoine Dupin et d’Alexandre Harmand en les accusant de fuir le débat.
L’attitude de la Commission électorale dont elle est solidairement responsable a été fortement sujette à caution, notamment concernant sa partialité.

Dans ce contexte, les éléments paraissent suffisamment graves aux adhérents du modem de Puteaux pour ne plus reconnaître Sylvie CANCELLONI comme chef de file de la section locale.